Une importance toute particulière doit être attribuée à l’échelle d’acquisition, d’analyse et de restitution des données. Elle doit être la plus homogène possible au fil des différentes étapes et suivant les différentes bases de données utilisées. L’échelle constitue un facteur très limitant. Les données externes doivent être les plus précises possible (privilégier les échelles comprises entre 1/2 000ème et 1/25 000ème).
Concernant les géotraitements et les résultats cartographiques, il est possible d’utiliser un maillage de 1 à 100 ha. Pour le définir, il est préférable de rester dans les échelles de capacité de déplacement de la faune sauvage (variable en fonction des espèces ciblées).